- Catégorie : Randos Route
- Par baudet le
La météo est très clémente ce matin. Cela fait du bien !
Nous sommes 9 au départ de 7h30 : Ghislain, Gérard, Didier, Michel, Philippe,Boussad, David, Noel et Stéphane V.
Nous allons à Argenteuil qui organise sa rando des Asperges. Nous partons tous groupés. Dans la côte de Montlignon Stéphane V prend le large. Il n'a pas de temps à perdre car il s'est inscrit sur le 97kms. La rando nous fait passer par la plaine de France avant le ravito au très beau chateau de St Martin du Tertre. Ici nous retrouvons l'ami Yves qui part également sur le 97 kms.
Ghislain, David et Philippe poursuivent sur le 78kms alors que les copains rentrent directement à Argenteuil avec le parcours de 58kms. Sur le 78 kms nous prenons de sympathiques petites routes entre Viarmes et Noisy sur Oise avant d'attaquer la sévère côte de Beaumont sur Oise.
Second ravito à St Martin avant de rejoindre Argenteuil.
A Attainville j'entends un petit “coucou”. C'est l'ami Stéphane qui déboule.Il vient de nous mettre 20 kms dans la vue et poursuit comme un bolide.
David prend la poudre d'escampette dans la côte de Bouffemont. On ne le reverra plus car il “zappe” l'arrivée qu il ne retrouve pas et rentre directement à la maison.
Très belle rando avec 92kms au compteur, plus de 900m D+ pour le trio . 73 kms 630D+ pour le groupe Noel.Au toptal 232 participants ( départs d'Argenteuil et de St Martin +BRM).
Ghislain
A 7H du matin il pleut. Rien d’encourageant pour aller rouler si ce n’est de retrouver les copains qui ont confirmé leur présence sur WhatsApp. Et puis la météo a annoncé une matinée sans pluie !
Alors au départ de 8H nous somme 7 cyclos : Martine, Ghislain, Philippe, Stéphane S, Fabien, Christophe et David qui ce matin chevauche …une nouvelle monture : un petit bijou en acier de la marque Cinelli.
Christophe et Fabien partent sur le 87 kms.
Nous partons sur le même parcours : Pontoise, Courcelles, Longuesse. Au Perchay nous tournons sur US et nous nous arrêtons à la gare boire un café et découvrir une animation AVELEC (Association pour le développement du vélo électrique).
Nous rentrons par la vallée de la Viosne.
Très belle matinée cyclo sans pluie sur de belles petites routes que nous réserve le Vexin et 76 kms au compteur.
Nico, Laurent et Damien ont préféré un bain de …boue avec 40 kms de VTT !
Quant à Mathieu, Samuel, Franck et Stéphane V, ils ont opté pour une grande distance à savoir la mythique Lille-Hardelot et ses 160 kms !
Ghislain
Malgré des routes mouillées et des gouttes à 7h nous sommes 8 cyclos au départ de 7h30 : Martine, David, Michel, Stéphane V, Xavier, Franck, Fabien et Ghislain.
Nous partons à Mériel qui organise la Marielloise. Là-bas nous retrouvons Yves et …un petit nouveau Boussad, venu au départ en voiture. Boussad est licencié au club de Mitry-Mory, il vient d’emménager à Cormeilles et intègre notre club à compter de ce jour.
Nous nous inscrivons sur le 51kms. Stéphane V, Xavier, Fabien, et Franck partent devant. Ils sont pressés car c’est …la fête des mères.
Nous formons un 2ème groupe qui roule à bonne allure. Boussad qui reprend le vélo nous suit allègrement et découvre avec plaisir nos belles routes du Vexin. Après le ravitaillement d’Haravilliers Yves nous quitte et prolonge sur le 77 kms. Nous revenons par la côte d’Epiais-Rhus ( Ah la coquine elle est longue !)
A Meriel, nous savourons un bon sandwich rillettes-cornichons bien utile pour les 17 kms du retour à Cormeilles.
Pas une goutte de pluie, du soleil, très bon accueil et très beau parcours sur nos petites routes du Vexin avec très peu de voitures.
89 kms au compteur, 536 D+, 10 cormeillais pour 187 participants.
Ghislain
**Mercredi 8 mai 2024**
Nous sommes quatre courageux vététistes à prendre le départ pour notre week-end dans les Vosges : Hamid, Yannick, Eric et Guillaume. Hervé devait être des nôtres, mais une douleur au dos l’empêche de se joindre à nous. Pas de panique, il nous a promis de venir nous rendre visite pendant notre séjour.
Les modalités de transport et de chargement ont été validées le samedi précédant notre départ. Une seule voiture avec un porte-vélo, et Yannick en pilote désigné.
Mercredi matin, Yannick fait le tour des domiciles pour charger un par un Hamid, Guillaume et enfin Eric, qui, il faut le préciser, n’est pas en retard ! Il a simplement déménagé la moitié de son garage :D. Nous partons tranquillement vers 8h30 en direction de Basse-sur-le-Rupt.
Le trajet se déroule sans encombre, malgré notre appréhension, la circulation est fluide en ce week-end de l’Ascension. Eric « El Professor » nous explique que la conduite à bas régime n’est pas optimale pour la consommation… On sent l’expérience d’un ancien motoriste. Nous faisons une petite pause déjeuner à Vittel, histoire de se réhydrater et de prendre des forces. Eric et Yannick mangent léger avec une petite salade vosgienne, tandis qu’Hamid et moi-même anticipons les futurs efforts : Hamid opte pour une tête de veau et moi, un jarret de porc, qui, je dois bien l’avouer, me donnera de l’énergie pour les quatre jours à venir.
Nous arrivons dans l’après-midi au gîte, accueillis par François. Nous sommes répartis sur deux espaces : Hamid et Yannick dans le petit gîte, et Eric et moi dans une chambre attenante au domicile de Françoise. Nous sommes très bien installés et nous croisons nos voisins de gîte, des cyclotouristes… Les Vosges, terre de vélo !
Pas de vélo cet après-midi, nous enfilons nos baskets et partons marcher quelques kilomètres pour dérouiller nos jambes et digérer le jarret. De retour de notre balade, nous préparons le dîner avec au menu, raclette, pommes de terre, charcuterie et salade. Extinction des feux vers 22h30 – la journée de demain s’annonce belle !
**Jeudi 9 mai 2024**
Après une bonne nuit de sommeil, je rejoins Hamid et Yannick pour le petit déjeuner vers 8h00. Eric, quant à lui, dort toujours et se réveille au dernier moment pour prendre son fameux Nesquik. L'objectif de la journée : deux sorties pour nous acclimater à l’altitude et aux variétés du terrain.
Nous partons vers 9h15 en direction du Haut du Roc par les chemins des vaches. Ça commence bien : Eric nous fait une petite frayeur en ne voyant pas un fil électrique traversant le chemin. Rien de grave, nous poursuivons notre ascension dans la boue, puis par la route, et ensuite à travers une très belle forêt de pins. Nous atteignons le point culminant de notre sortie à 1027 m d’altitude. Nous faisons une petite pause pour admirer le paysage, tandis qu'Eric tape la discute avec des locaux.
Après nous être réhydratés, nous amorçons une descente sympa et très technique. Yannick s’en donne à cœur joie, et j’ai du mal à le suivre. Eric, toujours pas à l’aise dans cet exercice, ralentit beaucoup, Hamid le suit. Malgré les distances de sécurité, Hamid se fait surprendre par un coup de frein un peu brusque d’Eric. Avec le poids de son VTTAE, il finit à terre. Heureusement, rien de grave pour Hamid, son épaule n’a pas été touchée. Nous continuons notre descente jusqu’à Planois, puis remontons par la route de la Vierge qui nous conduit vers le col du Haut de la Fourche. Nous poursuivons notre douce montée jusqu’à la Piquante Pierre, où nous étions montés à pied hier.
Nous grimpons légèrement pour passer le col de Menufosse et descendons pleine balle jusqu’au gîte pour un déjeuner bien mérité.
N’ayant pas de bac de cryothérapie pour faciliter la récupération, Yannick et Hamid improvisent une séance balnéo dans « la piscine du gîte », qui doit être proche de 3-4 degrés selon « El Professor » Eric, qui connaît bien les lieux.
Après une collation bien méritée et une petite sieste pour Eric, nous reprenons nos montures vers 14h00 pour notre deuxième session de la journée. Direction le col de la Croix des Moinats, où nous nous arrêtons pour regarder le monument en mémoire des Goums Marocains, qui se sont illustrés lors de la Seconde Guerre mondiale.
Après cet intermède historique expliqué par « El Professor » Eric, nous descendons… pour remonter et enchaîner les cols des Hayes, de Lansau et de Lauvy. Nous descendons la route de Suais à fond et rechargeons les batteries pour ensuite grimper sur un chemin près des Gouttes nommé sur Strava « le Goutte à Goutte ». C’est un raidar avec de la roche, de l’eau qui coule et une adhérence plutôt limite. Je m’accroche comme un forcené pour ne pas mettre pied à terre, dépassant difficilement des marcheurs qui ont un bon rythme dans la côte. Mon compteur indique une pente à plus de 26%. Finalement, je dois mettre pied à terre par manque d’adhérence, mais je reprends plus loin après avoir poussé le vélo sur quelques mètres. Mes compagnons ont aussi été obligés de pousser le vélo. Nous nous rejoignons pour un en-cas bien mérité près d’un petit refuge et profitons du point de vue. Pour la petite anecdote, des locaux que nous avons croisés dans le raidar nous demandent si nous sommes du coin, car nous roulons en musculaire et non en électrique !
Après cette petite pause, nous reprenons la route en direction du col de la Croix des Moinats, mais par un autre chemin. Nous ne basculons pas vers la descente pour rejoindre le gîte, mais continuons notre ascension par la route des Roches du Chat qui doit nous mener au col de Menufosse. Je suis plutôt en forme, mais mes compagnons commencent à ressentir les efforts de la journée, surtout que la dernière portion est à plus de 20%. Les jambes commencent à chauffer, et la digestion du jarret de porc est terminée !
Eric propose de faire une nouvelle boucle de quelques kilomètres. J’ai cru entendre Yannick grogner un "non" !
Finalement, nous descendons le Menufosse pour terminer cette belle journée.
Bilan de la 1ère journée : 32,25 km pour 1113 m de D+ en 2h57 minutes.
Après une bonne douche, nous nous rendons au restaurant L'Auberge Les Jonquilles, qui se trouve à une dizaine de kilomètres de notre gîte. Yannick nous offre l’apéro pour fêter son anniversaire (merci encore !). Il est temps pour nous de refaire le plein de calories. Pour Hamid, ce sera tourte et tête de veau, pour Yannick, tarte au munster et Fleischschnakas (roulé de viande). Eric et moi optons pour tarte au munster et collet de porc fumé accompagné de salade verte et de tofailles.
Sur le chemin du retour, Eric s’improvise GPS et nous égare. Heureusement, Yannick à un vrai GPS dans sa voiture qui nous ramène à bon port pour une nuit de sommeil bien méritée !
**Vendredi 10 mai 2024**
Aujourd’hui, nous avons prévu de ne rouler que le matin et de faire une petite balade à Gérardmer l’après-midi. Ce matin, au petit déjeuner, Hamid fait grise mine : son genou droit est très gonflé et il se résigne à ne pas rouler aujourd’hui, en espérant que ça ira mieux pour le tour de La Bresse demain.
À 9h00, nous prenons la route en direction du col de Menufosse. Il fait beau et chaud ! C’est une petite balade tranquille où nous alternons entre le cœur de la forêt de pins et les champs pleins de fleurs d’été. Nous nous arrêtons près d’une tourbière où « El Professor » Eric nous explique la formation de la sphaigne. Je crois que Yannick est devenu incollable sur le sujet. Nous rencontrons aussi de belles fourmilières.
En rentrant de cette petite sortie, nous passons devant le panneau du début du tour de La Bresse que nous emprunterons demain. Le repérage est fait, nous rentrons rejoindre Hamid pour le déjeuner.
Bilan de la 2ème journée : 15,52 km pour 399 m de D+ en 1h15 minutes.
Nous passons l’après-midi au lac de Gérardmer et en profitons pour faire quelques courses pour le repas du soir où nous accueillons Hervé et Nelly. Nous faisons aussi un crochet par la pharmacie pour le genou d’Hamid et pour trouver des comprimés anti-crampes pour Yannick. En rentrant, nous faisons un détour chez les producteurs locaux pour acheter notre munster et notre tome.
Hervé et Nelly nous rejoignent, ainsi que Françoise, pour l’apéritif, et nous passons un agréable dîner. Nous dégustons un vin local que Françoise nous a offert, ainsi que de la tourte et d’autres spécialités. Bien évidemment, nous n’oublions pas les pâtes pour avoir des sucres lents pour demain.
Eric nous abandonne pour aller se coucher tôt, espérons qu'il se réveillera à l'heure, car durant la nuit, il a cassé son réveil. Croisons les doigts !
**Samedi 11 mai 2024**
Aujourd’hui, c’est le grand jour : objectif, le tour de La Bresse. Sur le papier, c’est une piste noire de 60 km avec 1600 m de D+. La veille, nous avions fixé le départ à 8h30 pour être à l’aise pour le resto du soir. Comme souvent lors des rendez-vous dominicaux, Eric est à la bourre – la fameuse casse du réveil… Pas grave, nous profitons du soleil qui est au rendez-vous. Hamid la mort dans l’âme ne nous accompagnera pas, son genou ne va pas mieux et il ne serait pas sérieux de tenter le coup.
Nous chargeons nos sacs de boissons, de bananes pour Yannick (il en faut pour ses crampes) et de notre pique-nique (merci Yannick qui prend ma boîte car mon sac est trop petit).
Finalement, nous démarrons vers 9h00. Pas de temps mort, nous commençons tranquillement par la montée du col de Menufosse que nous connaissons déjà.
Après 3 km, nous arrivons au début du circuit 15, « le tour de La Bresse ».
Nous nous dirigeons vers La Bresse via une descente de plus de 4 km avec des portions techniques. On sent Yannick dans son élément, il trace. Eric est moins à l’aise, quant à moi, je mets pied à terre sur un ou deux virages pour préserver mon dérailleur – un peu de prudence, il reste des kilomètres.
Une fois à La Bresse, nous faisons une petite pause pour regarder un concours de sculptures sur tout type de matériaux. Plutôt intéressant et atypique !
Il ne faut pas se refroidir, nous reprenons la route et commençons la montée du Brabant par la route. Nous croisons des cyclos de Marines qui nous saluent. Nous montons au train pendant 5 km pour rejoindre la partie VTT du chemin, encore 2 km de montée. Avec Yannick, nous jouons le classement de la montagne, à celui qui passera le plus de cols en tête… ça commence.
Au sommet, nous attendons Eric qui souhaite voir un ami car son shifter de dérailleur bloque un peu. De mon côté, je montre à Yannick comment faire un soleil à l’arrêt, et c’était plutôt réussi – quelques randonneurs me chambrent gentiment. Ce qui se passe au Brabant reste au Brabant, je n’en dirai pas plus.
Le parcours s’engage près du collet de Mansuy, puis au col de la Vierge, et enfin nous arrivons au col de Bramont. Ce dernier culmine à 956 m et sépare la Lorraine et l'Alsace. À ce niveau, Yannick et moi sommes toujours en compétition pour le classement du grimpeur. Nous traversons la route au niveau du col pour poursuivre sur un sentier interminable et pentu… le chemin du Génie. Je lâche Yannick, qui commence à avoir quelques douleurs au dos, tandis qu’Eric monte tranquillement au train.
Nous faisons une pause bien méritée à la tête du Régit, et Yannick fait quelques étirements pour soulager son dos. Nous reprenons ensuite sur une descente technique et très rapide. Yannick a repris des couleurs et arrive le premier au lac de Blanchemer pour la pause pique-nique du midi.
Après une pause de 45 minutes, nous reprenons la route, direction le Petit Artimont (qui n’a de "petit" que le nom, le bougre) pour arriver sur le barrage du lac de la Lande. Nous enchaînons ensuite la montée vers l’Auberge Schmargult. Fair-play, j’attends Yannick ;-) mais El Professor préfère continuer sur sa lancée. Nous nous arrêtons quelques minutes pour prendre un verre en terrasse et remplir nos gourdes, où nous croisons deux jeunes OVNI néerlandais (un croisement entre Mathieu van der Poel et Jeannie Longo, je dirais).
Nous repartons et nous montons encore et toujours vers le col du Wormspel, nous passons près du Hohneck. J’hésite, mais je décline la proposition d’Éric pour monter là-haut. Nous enchaînons une longue descente rapide en pleine forêt, nous passons par les cols de Thiaville et des Feignes sous Vologne. Je suis au taquet et j’ai du mal à suivre Yannick, mais je m’accroche, quand soudain nos deux OVNI néerlandais nous doublent, je ne sais pas comment… En passant, je regarde mon compteur : 53 km/h… ils m’ont déposé. Yannick m’a dit plus tard qu’un des gars avait fait un jump en le dépassant, bon esprit :D
Comme on dit souvent, quand on descend, c’est que ça va remonter après… bingo ! Après cette longue descente, nous remontons, et pas qu’un peu. Nous nous engageons sur le chemin de Lispach. Avec Yannick, nous nous tirons la bourre jusqu’au lac de Lispach et sa mine abandonnée, puis jusqu’au collet de la mine. Jusque-là, tout va bien.
Nous nous dirigeons ensuite vers la Tête de Grouvelin, un sommet où de nombreuses pistes de ski se rejoignent. Eric est distancé, mais je sais maintenant pourquoi… il gère l’effort. Nous sommes à moins de 200 m du col et là, nous voyons un mur avec un terrain quasi impraticable : des roches et des troncs bouchent des trous. Je tente ma chance en premier, je serre les coudes et me mets en avant sur ma selle. Je monte, mais au bout de 50 m, je craque et mets pied à terre. Je me retourne et vois Yannick déjà en train de pousser son vélo. Nous finissons à pied. En regardant les stats, on peut voir que cette portion de 600 m de long prend 170 m de D+, soit un pourcentage moyen de 28 % !
Dix minutes plus tard, Eric arrive enfin, triomphant. Il a monté la côte en 6 fois, bravo à lui !
Nous descendons vers le col de Grosse Pierre et suivons la ligne de crête, alternant coups de cul et passages roulants. Yannick et moi menons bon train, mais Eric accuse un peu le coup sur les 10 derniers kilomètres (il a peut-être tout donné dans le Grouvelin). Nous arrivons à la fin de la boucle du circuit pour prendre une petite photo et immortaliser cette belle rando que je pensais plus difficile. Nous repartons pour rejoindre le col de Menufosse. Yannick et moi entamons le sprint final. Meilleur descendeur, il arrive au gîte avant moi. Comme dirait Yannick, j’ai gagné le maillot à pois et lui l’étape ;-)
Bilan de la 3ème journée : 60,46 km pour 1829 m de D+ en 5h24 minutes.
Après une soirée passée au restaurant pour refaire le plein de calories, nous regagnons gentiment nos pénates pour un repos bien mérité. C’est certainement le grand air qui nous aura fatigué et sûrement pas cette « petite promenade gentille ».
Le dernier jour sera consacré au rangement du gîte, chargement de la voiture et le trajet du retour où chacun fait découvrir ses goûts musicaux.
Bilan du séjour, de bons moments tant sur la selle qu’en dehors...d’autres week-end seront à planifier c’est certain.
Guillaume et Yannick Lam.
En ce dimanche de Pentecôte il y a 9 courageux !
Un premier groupe avec Nico, Xavier, Fabien et Laurent fait 70 kms à 24,3 de moyenne. Il arrive avant la pluie.
Jean-Paul, Philippe, Yves, Michel et David (qui veut rester avec les vétérans !) forment un second groupe et partent sur le 67 kms.
A Arronville Jean-Paul les quitte. Michel propose un compromis entre le 67 et le 78 kms : Berville, Haravilliers, Theuville, Vallangoujard, Ennery, Pontoise.
A partir de là, ils prennent une méga douche jusqu’à Cormeilles ! Au total, 74,5 kms et 495D+.
Ghislainn